Culture & Sport
Un responsable de la FIFA en visite de travail à Bangui
[La rédaction|Mis à jour| lundi 3 novembre 2014 ]
Le directeur régional du développement de la FIFA, Seidou Mbombo Njoya, est arrivé dimanche à Bangui pour une visite de travail au cours de laquelle il fera avec les officiels centrafricains l’évaluation des activités de la Fédération centrafricaine de football (FECAFFOT) avant d’examiner avec eux les modalités de la reprise en RCA des activités de l’instance footballistique mondiale.
‘'Je suis en visite de travail à Bangui. Parce que, la FIFA souhaiterait reprendre langue avec les dirigeants de la fédération centrafricaine de football et de voir dans quelle mesure il est le possible de reprendre les activités avec l'association'', a déclaré à la presse locale le Camerounais Seidou Mbombo Njoya, peu après son arrivée à l'aéroport Bangui Mpoko.
Il a ajouté : ‘'C'est tout à fait normal que nous venions assister et soutenir l'association qui est évidemment en difficulté et a subi des contrecoups des événements que traverse encire la République Centrafricaine''.
Son agenda prévoit une série de rencontres avec les dirigeants de la FECAFOOT, des clubs et avec les officiels centrafricains.
©APA
Afrique: Habi Touré,actrice sénégalo-centrafricaine - " Le cinéma africain est sur la bonne voie "
[ Par Schadé ADEDE |Mis à jour|vendredi 17 octobre 2014 ]
La star de la série-télévisée "Aimé malgré lui", la sénégalo-centrafricaine, Habi Touré, s'est confiée à Notre Voie, en marge du Grand prix africain du cinéma, de la télévision et des Tic (Gpactn 2), en juin dernier, à Abidjan.
On vous sait centrafricaine. Mais Habi Touré fait penser à un autre pays. Quelle est votre histoire ?
Mon père est Sénégalais et ma mère Centrafricaine. C'est tout cela qui fait de moi une Africaine.
Votre père serait un immigré en Centrafrique ?
Mon père est devenu Centrafricain. Du Sénégal, il est venu s'installer en Centrafrique depuis l'âge de 20 ans.
Que fait-il dans ce pays comme travail ?
Il travaille dans le secteur du diamant.
Vous venez d'être couronnée Meilleure actrice du Gpact 2, avec "China Town", un film d'action du Congolais Didier Ndenga. Comment Habi Touré arrive-t-elle dans le cinéma ?
Cela fait plus de 10 ans que je suis dans le cinéma. J'ai fait des études à Dakar. Après, j'ai fait l'Actor Studio à Paris, en France. J'ai commencé par la photo ; en fait, je posais pour des magazines et pour des agences de publicité.
Doit-on dire que Didier Ndenga, le réalisateur de "Aimé malgré lui", la série-télé qui vous a propulsée au-devant de la scène internationale, est votre découvreur ?
On peut le dire comme ça. Comme chez nombre d'acteurs, j'étais très motivée à la recherche de castings ici et là. C'est ainsi que je tombe sur Didier Ndenga qui a flairé en moi l'actrice que je suis. Il a cru en moi et a décidé de me faire travailler depuis le début de ma carrière. Cela fait donc 10 ans que je bosse avec lui.
Comment jugez-vous votre collaboration?
Tout se passe très bien. Moi, j'écris aussi des scénarios. On a fait ensemble "Aimé malgré lui ". J'ai écrit le scénario de l'œuvre et nous l'avons produit ensemble ;
mais c'est lui qui en est le réalisateur. Je suis l'actrice principale du film, tout comme dans "China Town" que Didier réalise. Il y a aussi "Patte blanche", un court-métrage que j'ai écrit mais produit et réalisé par lui.
Apparemment, vous vivez une très belle aventure cinématographique...
En tout cas, c'est une très belle aventure que nous vivons et j'espère qu'elle continuera aussi longtemps que possible.
Sur votre site officiel, vous affichez de grosse ambition d'actrice. Peut-on en savoir davantage ?
Vous savez, le cinéma, c'est déjà un rêve. Alors, si on ne voit pas gros, on ne va pas y arriver.
©NotreVoie
Centrafrique: Décès d'un footballeur
[ Par Steven Lavon |Mis à jour|mercredi 1er octobre 2014 ]
Nouvelle perte dans le football africain. La Centrafrique pleure le décès de Lopez Rousseau, joueur du club de DFC8, formation du championnat de première division du pays. Il est mort le week-end écoulé suite aux violences à Fatima, un quartier de Bangui, la capitale centrafricaine, rapporte le site Centrafriquefootball.
La Centrafrique est le théâtre d’une guerre civile depuis de longs mois.
Le DFC8 est l’actuel leader du championnat de Centrafrique. Il compte 41 points après 19 journées soit 2 points de plus que son dauphin Tempêté Mocaf. Real Comboni est 3è avec 36 unités.
A cause du décès de Rousseau, le DFC8 n’a pas disputé son match de championnat ce week-end.
©AfricaTopSports
Centrafrique : Tiga, sur la vague
[La rédaction|Mis à jour|08/09/2014]
Fine et élancée, surmontée d’une tignasse savamment ébouriffée : dans la rue ou sur un plateau de télévision, impossible de rater Tiga, présentatrice de choc sur France Ô. De plus près, visage lisse, nez retroussé et yeux rieurs achèvent de séduire, mais il ne faut pas s’y tromper. Lorsqu’elle évoque son pays natal, la République centrafricaine, le regard se durcit, les mots sont mûrement choisis. Sophie Alladoum Tiga Ducasse n’a pas choisi au hasard d’utiliser son troisième prénom, Tiga, « la révolutionnaire » dans sa langue natale, le sango.
Ce top-model, qui fut plusieurs années égérie de Courrèges et mannequin cabine d’Azzedine Alaïa – elle continue d’ailleurs de défiler quand la télévision lui en laisse le temps –, peut s’enorgueillir d’une vie bien remplie dont le récit ne peut commencer sans l’évocation du père, Jacques, surnommé « Le Sage ». Landais d’origine, ce professeur coopérant arpente les lycées français en Afrique et enseigne au gré des mutations, français, latin, grec ou même araméen. A Bangui, il tombe amoureux fou de Carmen, une Centrafricaine, et l’épouse. Puis le couple part s’installer à Cotonou, au Bénin. En 1983 naît Tiga puis, treize mois plus tard, sa réplique parfaite, Cathie. Quatre ans plus tard, nouveau déménagement à Bujumbura, au Burundi. La famille bourlingue, les filles, férues de danse et de natation, s’adaptent avec grande facilité. Elles parlent français, mais aussi un peu le fon du lointain Bénin, et le sango appris au gré des multiples visites à la famille maternelle.
En 1993 éclate la guerre entre Tutsi et Hutu au Rwanda tout proche. « Au Burundi, c’était tout à la fois le chaud et le froid. Mes parents essayaient de nous préserver, mais nous étions contraints au couvre-feu. J’ai vu des cadavres, des machettes, ça m’a marquée à vie. » L’année suivante, double bouleversement pour Tiga et sa sœur : divorce des parents et retour en métropole, près de Dax, dans les Landes.
Softiemama, régisseuse et chorégraphe à Cuba
S’ensuit une scolarité sans accrocs.Tiga continue danse et natation, auxquels s’ajoutent volley, basket, hand-ball et athlétisme en niveau national. Mais déjà les sœurs veulent aider, faire de l’humanitaire. Cathie, aujourd’hui ingénieur en informatique, se souvient des années collège : « Nous faisions partie du club Action catholique des enfants (ACE), vendions des gâteaux, montions des animations et projets pour envoyer de l’argent à Madagascar, au Sri Lanka, en Colombie. Plus tard, ce furent les Téléthon, puis à nouveau les clubs ACE, mais comme organisatrices cette fois. » L’internat du lycée sera l’occasion pour celle que ses amis surnomment « Softiemama » de monter Tribales, sa troupe de danse qui lui permettra, deux ans plus tard, de décrocher son premier boulot : chorégraphe au Club Med pendant six mois, à Cuba.
Fin 2005, les filles rejoignent leur mère à Paris. Tiga poursuit sa scolarité en licence d’histoire de l’art et d’archéologie. Carmen inscrit aussi son aînée au concours Miss France. Sans y croire, sa fille se retrouve en finale. Son caractère bien trempé aura raison du titre et du podium. Tiga ne regrette rien : en plus de cette « belle rencontre » avec Mme de Fontenay, elle est repérée par les productions Endemol et devient chroniqueuse dans « Les Enfants de la télé », d’Arthur. Sa carrière est lancée. TF1, puis W9, des séries à succès comme « Section de recherches » ou « Aimé malgré tout » et, depuis 2011, plusieurs émissions sport sur France Ô. Fin 2013, elle interviewe l’un des champions emblématiques de la natation française : Alain Bernard. Le charme opère, elle le convainc de quitter le soleil d’Antibes pour la retrouver sous la grisaille parisienne.
Si Dieu me prête vie, mon orphelinat verra le jour
Super-active sur les réseaux sociaux, elle n’hésite pas à sensibiliser aux drames inter-religieux dans son pays d’origine lorsque la guerre éclate : « Chers tous, je fais bonne mine, mais en vérité pas un jour ne se passe sans que mes larmes ne coulent depuis que ces monstres de la Séléka sont entrés dans la capitale pour y instaurer le chaos. » Elle décide alors de passer à l’action et reprend un des rêves de sa mère : créer une association pour aider à l’envoi de médicaments, à la construction d’unités de soins ou d’orphelinats. Coup de pouce des anges voit le jour, « Tiga » est épaulée par sa sœur, mais aussi et surtout par Carmen et ses contacts locaux.
Son rêve secret est encore et toujours lié au bénévolat : elle souhaiterait passer derrière la caméra pour rendre hommage à ces petites associations souvent anonymes dispersées un peu partout sur le globe. Comme elle le fait, sans vraiment de publicité en Centrafrique, avec le Coup de pouce des anges : « Si Dieu me prête vie, comme on dit en Afrique, un jour viendra où le dispensaire et l’orphelinat verront le jour à Batangafo, dans mon village familial. Il sera alors temps pour moi de m’y installer. »
©LE MONDE TELEVISION
Jean de Dieu Mageot élu président de la Fédération Centrafricaine de Basket-ball (FCBB)
[La rédaction|Mis à jour|07/07/2014]
Jean de Dieu Mageot succède à Joseph Bozizé au poste du président de la Fédération Centrafricaine de Basket-ball (FCBB). Ancien joueur du Hit Tresor [Centrafrique] - Tain l'Hermitage - Aix-les-Bains - Toulouse - Vitry-le-François - Epinal - Reims - Prissé - Vichy - Poitiers - Poissy, ce franco-centrafricain de 44 ans connait bien le milieu du basket international après plusieurs années passées dans différents clubs français. Fiacre Ndingatoloum et Cécile Kolingba sont élus respectivement 1er et 2e Vice-président de la FCBB. Il faut noter que les représentants de la Ligue de Bangui ont boycotté l'Assemblée génarale.
Après plusieurs mois de tergiversation, les élections des Vices et du Président de la Fédération Centrafricaine de Basket-ball ont finalement eu lieu ce samedi 5 juin à Bangui. Pourtant prévu pour le samedi 14 juin dernier, il a fallu attendre trois semaines pour que l'Assemblée générale ordinaire et élective puissent siéger. Sans surprise, l'ancien capitaine des Fauves de Bas-Oubangui, actuellement président du club Hit Trésor Jean de Dieu Mageot a été élu Président de la Fédération Centrafricaine de Basket-ball (FCBB) avec acclammation. Il succède ainsi à l'ancien président Joseph Bozizé, en exil depuis 24 mars 2013 suite à un Coup d'Etat.
Fiacre Ndingatoloum, 1er Vice-président de la FCBB
Pour sa part, Fiacre Ndingatoloum, jeune Expert en métrologie à la CEMAC, fiancé père d'un enfant et patron du club Tondema depuis 2013, a été élu Premier Vice- président de la FCBB. Déjà chargé de communication de la FCBB au moment de l'Afrobasket 2013 à Abidjan en Côte d'Ivoire, Cécile Dingo Kolingba devient la 2e Vice-présidente à l'issue de ces élections qui ont eu lieu dans la capitale centrafricaine.
Cécile Kolingba, 2e Vice-présidente de la FCBB
Après le bilan pitoyable concédé par l'équipe nationale centrafricaine lors de l'Afrobasket 2013 à Abidjan, le nouveau bureau aura la lourde tâche de redonner un souffle nouveau à ce sport roi qui manque malheureusement de leadership depuis le deuxième et dernier sacre continental de 1987 en raison d'une mauvaise gestion et d'une organisation souvent improvisée devenue chronique.
Il faut noter que certains candidats aux postes du 1er Vice et du président ont fait le choix de jeter l'éponge, sans doute pour montrer leur mécontentement. Il s'agit de Monsieur Maurice Limbio dont le représentant est l'ancien président la FCBB Elvis Bomayako et de Colonel Alfred Service.
A lire aussi : Centrafrique : réaction à l'élection du Président de la FCBB suite aux manoeuvres de M Gaston GAMBOR
Toute l'équipe de la rédaction zokwezo-news souhaite une bonne chance et une réussite totale à la nouvelle équipe dirigeante de la FCBB.
©News Basket Bêafrika
Centrafrique : réaction à l'élection du Président de la FCBB suite aux manoeuvres de M Gaston GAMBOR
Ancien gloire du basket centrafricain, Général Gaston Gambor
Bonjour Gaston Gambor,

Copie à la famille, aux Autorités et à la presse
Centrafrique: Raymond Domenech va entrainer la Centrafrique !
On vous l'annonçait la semaine dernière. Une rencontre amicale de solidarité opposera le 20 mai prochain à Vannes, l'équipe de Bretagne à celle de la Centrafrique. Tandis que les Bretons seront conduits par Claude Leroy, Raymond Domenech lui sera sur le banc de la Centrafrique pour la circonstance.
Peut-être pour un contrat à long terme plus tard...
© Africa Top Sports
Centrafrique, le football, dernier rempart contre le génocide
24 Avril 2014] - Qu’ils soient Seleka ou Anti-balaka, les Centrafricains se retrouvent tous autour des Fauves du Bas-Oubangui, leur équipe nationale. Fort de ce constat simple, l’ancien joueur et député Anatole Koué a créé l’association "Les Frères Centrafricains", pour faire du football le vecteur de la réconciliation nationale. –Mise à jour le
« I ye gui siriri, I ye gui siriri » (« Nous voulons la paix, nous voulons la paix ») : c’est le cri de ralliement que les Frères Centrafricains aiment à entonner, tels des supporters. Créée à l’initiative de l’ancien footballeur et député Anatole Koué, cette association entend œuvrer activement pour la fin des violences en République Centrafricaine.
« Dans les processus de réconciliation, la question est si souvent de savoir s'il faut d'abord assurer la justice ou d'abord faire la paix. Devant un tel choix difficile, il est chaudement recommandé de faire d'abord la paix », peut-on lire sur la page Facebook, mise à jour quotidiennement, de l’association. « Si la justice est exigée trop tôt dans le processus, ni la paix ni la réconciliation n'auront de chance de se réaliser. La justice seule ne peut jamais apporter la pacification et donc la paix ».
« D’abord la paix »
Dans ce but, les Frères Centrafricains font le pari de faire passer l’appartenance nationale avant l’appartenance religieuse. « Cette crise n'est pas confessionnelle. Cette guerre qui nous divise et qui nous appauvrit est la conséquence directe de la volonté égoïste de nos hommes politiques. Instrumentaliser cette crise dans l'intérêt de prendre le pouvoir est la plus mauvaise solution. Car le pays est détruit et des dizaines de milliers de nos compatriotes sont tués, assassinés pour rien », explique Anatole Koué. Cet ancien joueur des Anges de Fatima, l’un des clubs de Bangui, est entré en politique à la fin de sa carrière sportive. Alors membre du Rassemblement Démocratique Centrafricain (RDC), il est élu en 2011 député du troisième arrondissement de la capitale.
De son passé de footballeur, Anatole Koué garde une foi inébranlable en le dialogue inter culturel ou inter confessionnel. « Une équipe de football regroupe différentes nationalité ou ethnie qui se côtoient, peu importe leur religion, leur culture, leur confession. Ils ne sont pas obligés d’être issus d’une même famille mais arrivent pourtant à défendre le même maillot. Les internationaux jouent ensemble pour défendre le drapeau lors des compétitions internationales. Pendant les matchs, il peut arriver que les joueurs des deux équipes se donnent des coups, se taclent et parfois même se chamaillent, mais au coup de sifflet final, ils peuvent se serrer la main. C’est là un bel exemple et une belle preuve de paix que nous, centrafricains et centrafricaines, devrions suivre au lieu de garder certaines rancœurs (même justifiées) », estime-t-il.
Passée tout près d’une qualification historique pour la phase finale de la CAN 2013, la République centrafricaine avait su unir ses joueurs de toute confession derrière le même blason. Les Frères Centrafricains font le pari d’en faire un vecteur de réconciliation nationale, un antidote aux tentations génocidaires. Sur tous les terrains : l’association ne se contente pas de répandre son message pacifiste sur les réseaux sociaux, elle organise des opérations humanitaires, comme cette semaine au camp de déplacés du Grand Séminaire de Saint-Marc de Bimbo, à Bangui. En contact régulier avec les représentants de la force Sangaris, les Frères Centrafricains travaillent au quotidien à calmer les tensions dans les différents quartiers de Bangui.
La diaspora mobilisée
Conscient du rôle de leaders d’opinion que les footballeurs, en Afrique plus qu’ailleurs, sont capables de jouer, Anatole Koué n’a pas manqué de rameuter les Fauves du bas-Ougangui, ainsi que l’on nomme en Centrafrique ceux qui portent le maillot national. Venus de la diaspora, les messages d’encouragement se sont multipliés, partagés via Facebook et RT sur Twitter. Etabli à Bangui, Ibrahim Bohari est pour beaucoup dans cette mobilisation. Cet ancien attaquant international, passé notamment par les Championnats belge et turc puis devenu membre du staff de l’équipe nationale, sait user de son riche carnet d’adresses pour sensibiliser les footballeurs centrafricains évoluant en Europe ou en Afrique du Nord.
Il est trop tôt pour dire si le pari des Frères Centrafricains sera réussi. Mais son message passe déjà bien auprès des joueurs et des milieux du football. En Centrafrique comme dans la diaspora. Malgré la situation du pays, les compétitions reprennent petit à petit. C’est chose faite depuis la semaine dernière pour le Championnat de deuxième division. Et quatre équipes doivent jouer ce week-end pour le compte de la Ligue de Bangui.
Eloge Enza-Yamissi
Quant aux internationaux de la diaspora, ils sont résolus à disputer le deuxième tour des éliminatoires de la CAN 2015 (manche aller entre le 16 et le 18 mai, manche retour deux semaines plus tard), dont le tirage au sort est prévu le 27 avril au Caire. Le capitaine des Fauves, le milieu de terrain de Valenciennes Eloge Enza-Yamissi, s’est déjà dit prêt à payer lui-même ses billets d’avion pour pouvoir jouer ces matchs.
@mondafrique