A7i

A7i

CAMEROUN – CENTRAFRIQUE. Affaire Amine-Aboya: riposte de Me Andegue Onana

[ Par Maître ANDEGUE ONANA Daniel Désiré|Mis à jour|jeudi 9 avril 2015 ]

 

AMINE1.png

Monsieur Michel AMINE, Président Fondateur de L’Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès en République Centrafricaine (UNDP),

Ayant pour conseil Maître ANDEGUE ONANA Daniel Désiré,

Avocat au Barreau du Cameroun,

B.P. 5039 Douala, Tél : 677.51.18.00

Objet : Mise au point sur les déclarations du Professeur Manassé ABOYA ENDONG au sujet de Monsieur Michel AMINE, Président Fondateur de l’Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès en République Centrafricaine (UNDP)

 En date du 19 novembre 2014, le journal « Repères », dans son édition N°399, a publié un article annoncé à la Une et intitulé « Présidentielle Centrafricaine : la police camerounaise fait chanter un candidat ».

L’article dont s’agit a suscité la réaction d’une rare atrocité du Professeur Manassé ABOYA ENDONG qui a cru devoir, en guise de « droit de réponse », entre autres faire publier sur des sites internet, une abracadabrante communication par le truchement de laquelle il s’obstine opiniâtrement mais vainement, à justifier l’injustifiable et diaboliser celui à qui il adressait ses salutations les plus cordiales, puisqu’il qualifiait de « Très haute personnalité», voire « Très cher Président », il y a quelques mois, en l’occurrence Monsieur Michel AMINE, Président Fondateur de l’Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès en République Centrafricaine (UNDP), investi comme candidat dudit parti politique à la prochaine élection présidentielle, n’en déplaise à ses détracteurs aigris possédés par les vieux démons à la peau dure de la politique politicienne.

Aussi, convient-il fort opportunément de spécifier que les raisons de ce revirement spectaculaire, qui inspirera certainement méfiance et clairvoyance à tous ceux qui seraient actuellement qualifiés de « Très haute personnalité », puis « Très cher Président » par le Professeur Manassé ABOYA ENDONG, sont autres que celles évoquées dans sa communication propagandiste quasi désobligeante, truffée d’incongruités, d’invectives et révélatrice d’une volonté manifeste de dénaturer, voire occulter des faits dont le caractère sacré est irréversible.  

Le Professeur Manassé ABOYA ENDONG qui fait feu de tout bois et verse dans une digression sans pareille,  soutient  entre autres avec hardiesse et légèreté que : 

  • Il aurait fait l’objet d’une attention particulière, d’accusations non fondées et malveillantes dans un article du journal « Repères » intitulé « Présidentielle Centrafricaine : La Police Camerounaise fait chanter un candidat », qui « sera publié le 19 décembre 2014 », convoquant ainsi selon toute vraisemblance l’art de lire dans des boules de Crystal;
  • L’auteur de l’article sus-évoqué, en l’occurrence Monsieur MBASSI Dominique, a indiqué que « des responsables de la DST et des RG s’immiscent dans le règlement d‘un litige commercial entre le Président de l’UNDP-RCA et le Professeur Manassé ABOYA ENDONG» ;
  • Monsieur MBASSI Dominique « retranché dans un « Repères » à diffamation… » aurait « ...fait le choix rédactionnel atypique de rendre compte d’un litige supposé opposer deux parties, sur la seule base d’une version édulcorée d’un bourreau qui se… » transformerait « …en victime, le temps d’un papier à problèmes, écrit à n’en plus douter par un journaliste défendant assez maladroitement les intérêts d’un candidat à la Présidence Centrafricaine …» ;
  • « la victime Michel AMINE, fort de ses attributs de candidat à la Présidence Centrafricaine… », aurait révélé à Monsieur MBASSI Dominique « …que le recours aux services de la DST et aux RG fait suite à son refus de verser le moindre sous au représentant du Cabinet OLOKO & Partners Inc… » (Monsieur Manassé ABOYA ENDONG) « …qui réclame en plus de cinquante millions FCFA déjà perçus sans contre partie conséquente, un supplément de Cent Millions FCFA qu’il croit pouvoir obtenir par le truchement de l’instrumentalisation, du chantage, du traffic d’influence, de basses manœuvres destabilisatrices, suite à la résiliation acceptée par lui irrévocablement, d’un contrat de prestation de services » ;

Le contenu de l’article relatant des bévues procédurales serait en déphasage avec la Présidentielle Centrafricaine annoncée à la Une, puis révélateur d’un genre journalistique puisant davatange ses sources dans une hantise maladive de déformer la vérité et une détermination obsessionnelle de porter atteinte à l’honneur du modestement-éminentissime !!! Professeur, Vice-Doyen Chargé de la scolarité, des statistiques et du suivi des étudiants,  Faculté des sciences juridiques et politiques (Université de Douala), Directeur exécutif du GREPDA (Groupe de Recherches sur le parlementarisme et la démocratie en Afrique), représentant légal du Cabinet OLOKO & Partners (Conseils politiques, Stratégies de communication, Relations presses, Lobbying médiatique, Intelligence)…, pour ne citer que ces modestes, mais pas des moindrissimes titres ;

 

  • Le journal « Repères » à règlement de comptes propageant de fausses informations sous le fallacieux prétexte d’informer, aurait outrepassé son devoir d’informer, en s’arrogeant le droit de propager de fausses informations, assorties d’insinuations malveillantes sur le modestement-éminentissime !!! Professeur susnommé, mais pas des moindres personnalités, certainement titulaire et non détenteur à titre précaire des sublimissimes titres non exhaustifs sus indiqués ;
  • Le Cabinet OLOKO & Parteners Inc était sous contrat avec Monsieur Michel AMINE, en vue d’accompagner sa candidature à la Présidence de la République Centrafricaine ;
  • L’équipe que Monsieur le Professeur Manassé ABOYA ENDONG représente, était composée de Camerounais parmi lesquels messieurs Achille MBOG PIBASSO (journaliste), Ebénezer KENGUEP (expert judiciaire), Thierry NJIFEN (stratège politique), Joseph Désiré SOM II (stratège politique), Christophe NGASSU (Infographe et Chef d’Entreprise), Christian TCHAMEN (Webmaster et Chef d’entreprise) ;

Or, monsieur Michel AMINE étant exclusivement lié au cabinet OLOKO & Partners Inc qui emploierait des chefs d’entreprises,  le sacro saint principe de l’effet relatif des contrats, ne s’accommode pas de ce qu’on lui impute directement des prestations fournies par des tiers pour le compte de son cocontractant ;

  • De retour d’une mission à Bangui courant Avril 2014, Monsieur Michel AMINE aurait adressé une lettre de résiliation de contrat au représentant légal du Cabinet OLOKO & Partners Inc, alors que ce dernier attendait plutôt le paiement d’un acompte dont il ne précise pas le montant, pour payer son équipe ;
  • Monsieur Michel AMINE aurait ainsi voulu tirer profit d’une architecture « vraisemblablement imaginaire ou bâtie sur du sable mouvant », élaborée par des Camerounais représentés par l’éminentissime Professeur (qui s’auto proclame paradoxalement, dans le cadre d’un contrat liant Monsieur Michel AMINE exclusivement au cabinet OLOKO & Partners, au mépris du sacro-saint principe de l’effet relatif des contrats, tantôt représentant de ce cabinet, tantôt représentant d’un groupe de personnes sans rapports contractuels avec Monsieur Michel AMINE), « sur une base contractuelle sans rien payer, notamment dans une logique de rupture abusive de contrat sur fond d’escroquerie et de mauvaise foi, et aujourd’hui de diabolisation » ;
  • Tirant les conséquences inhérentes à ce qu’il qualifie pompeusement de rupture abusive de contrat, le célébrissime !!!  représentant légal du cabinet OLOKO & Partners Inc, a constitué le Cabinet d’Avocats TCHOUNGANG et Associés dit-il, « au regard de l’intention de… » son « …ancien client de vouloir s’esquiver sans conséquence devant ses obligations contractuelles minimales, notamment payer ce qui est prévu dans (?) contrat formalisé » ;
  • La conciliation entre les conseils aurait « convergé autour d’une somme de 150millions FCFA,  une somme dérisoire par rapport aux termes… » (non précisés à dessein par le Professeur-occulteur) du « …contrat régulièrement lu et approuvé avant d’être co-signé par les deux parties » ;
  • « voyant la perspective de la conciliation être tournée en bourrique par un partenaire volontairement glissant et insaisissable, faisant semblant d’avancer et reculant autant », l’éminentissime Professeur juriste-politologue, astreint à la confidentialité, en vertu d’une clarissime clause du contrat conçu et rédigé par lui-même,  a «…fini par déposer une plainte auprès de la Police Camerounaise, simplement parce qu’ayant accepté de payer cette somme, il est revenu sur les termes de cet accord formalisé 2 semaines plus tôt, au moment où… »  le célébrissime représentant légal du cabinet OLOKO & Partners Inc attendait son exécution ;

L’éminentissime Professeur Juriste-Politologue, certainement titulaire et non détenteur à titre précaire de sa pléthore de titres, soutiendrait donc ainsi à travers une alchimie juridico-procédurale  par embuscade ne pouvant résister à un examen minutieux, avoir saisi la police, notamment la DST et les RG dont il faut relever l’incompétence avérée, exclusivement parce que Monsieur Michel AMINE, le cocontractant du cabinet OLOKO & Partners Inc lié par une irréfutable clause de confidentialité dont il est le représentant légal, n’aurait pas payé la somme par lui acceptée en exécution du contrat, drôle de procédure dont seul son auteur aurait le secret et fondement légal;  

C’est à travers cet exploit juridico-procédural à connotation politico-pécuniaire, digne d’un éminentissime professeur aux multiplissimes casquettes que le représentant légal du cabinet OLOKO & Partners, en l’occurrence Monsieur Manassé ABOYA ENDONG qui appelle d’ailleurs la Sainte Vierge Marie mère de Dieu au secours au premier paragraphe, 3ème page de son inopérante montagne en argile pompeusement qualifiée de droit de réponse n’ayant pour seule consistance que son intitulé qui a tout de même le mérite d’exister, puis d’avoir fait le tour du monde, entend procéder au recouvrement forcé d’une prétendue créance dont il a saisi la juridiction compétente, à savoir « la police camerounaise agissant poursuites et diligences de la DST et des RG ;

Espérons que lorsque ses « prières chimériques !!! »  n’auront accouché que d’une minuscule souris, le Professeur Manassé ABOYA ENDONG ne saisira pas sa juridiction de prédilection, à savoir la police camerounaise, contre la Sainte Vierge Marie mère de Dieu, en recouvrement forcé de grâces, bénédictions, bonheur, prospérité…       

  • Soucieux de protéger les intérêts de son client pour la suite de son combat politique, le représentant légal du cabinet OLOKO & Partners Inc tout comme son conseil, n’auraient jamais voulu faire un tapage médiatique autour de cette histoire, mais plutôt un tapage policier, nonobstant la clause de confidentialité;
  • Le représentant légal du cabinet OLOKO & Partners qui reconnait être lié à Monsieur Michel AMINE par « une clause confidentielle »,  peut-être voulait-il parler de clause de confidentialité, serait « …très étonné par cette sortie visiblement tirée par les cheveux et susceptibles d’opérer un mauvais affichage pour sa personnalité, et ses ambitions politiques» ;
  • « les accusations relatives à l’instrumentalisation de la DST ou des RG… » seraient «… ridicules lorsqu’elles convoquent l’idée de litige commercial pour disqualifier les services de la police », en matière de recouvrement forcé d’une créance imaginaire;
  • « Après avoir engagé une action en conciliation qui tourne en rond », le conseil du cabinet OLOKO & Partners Inc « …a préconisé par la suite une plainte » en recouvrement forcé de créance « … régulièrement déposée !!! dans les services de la Police avec une documentation conséquente ; une plainte qui a été suivie d’une audition en bonne et due forme », puis d’une régulière !!! convocation téléphonique de Monsieur Michel AMINE se trouvant en France, par la police camerounaise, le 22 octobre 2014, à 22 h 15 mn ;
  • L’instrumentalisation serait inconcevable « …si la procédure exige qu’à la suite de… » leur « …plainte… » en recouvrement forcé de créance utopique « …le camp d’un face puisse faire prévaloir ses arguments… » (par sursaut de lucidité, l’éminentissime Professeur s’autoproclame déjà vaincu par sa victime inébranlable, en soutenant sans ambage que les arguments de Monsieur Michel AMINE prévaudront, lire deuxième paragraphe, 5ème  page du soi-disant droit de réponse de Monsieur Manassé ABOYA ENDONG)  « …pour que le dossier soit… » directement « … transmis au Tribunal… » par les services spéciaux de la police chargés du recouvrement forcé des créances illusoires, suite à l’exécution et la rupture d’un contrat de prestation de services entre une personne physique (Monsieur Michel AMINE) et une personne morale de droit privé (le cabinet OLOKO & Partners Inc, ayant pour représentant légal le Professeur Manassé ABOYA ENDONG),  conformément aux procédures dont seul l’éminentissime juriste-politologue seul a le secret, mais dont Monsieur Michel AMINE est curieux de découvrir le fondement légal ;
  • Monsieur AMINE Michel qui préfèrerait « …ameuter ses soutiens à la DGSN et la presse de Yaoundé pour le soutenir dans cette défiance…» refuserait d’après le célèbre juriste-politologue, « …de déférer… » à la régulière convocation téléphonique !!! à lui adressée le 22 octobre 2014 à 22 h 15 mn, dans les règles de l’art (voir codes de procédures civiles, commerciales et pénales dont le Professeur Manassé ABOYA ENDONG a le secret), par les services de la police camerounaise compétents en matière de recouvrement forcé des créances imaginaires, suite à l’exécution et la rupture d’un contrat de prestation de services ;
  •  L’on ne saurait imposer au cabinet OLOKO & Partners Inc et son représentant légal, les procédures autres que la saisine de la police « …entre autres en arbitrage et/ou recouvrement  forcé des créances imaginaires, suite à l’exécution et la rupture d’un contrat de prestation de services assorti d’une clause de confidentialité  », au point de s’offusquer d’après l’éminentissime juriste-politologue (voir son code de procédures civile, commerciale et pénale), de la convocation téléphonique à 22 h 15 mn de monsieur Michel AMINE jouissant d’un repos paisible à sa résidence en France, par les services spécialisés de la police, à l’effet d’entendre cet  étranger, cocontractant ayant payé plus de cinquante millions FCFA sans contre partie conséquente, maisdevenu dangereux suite au non paiement du montant supplémentaire non justifié de cent millions FCFA à lui réclamé;

Les lecteurs apprécieront l’art de rater l’occasion de se taire !!!

Monsieur Michel AMINE se demande si à travers ces basses manœuvres xénophobiques teintées de juridisme,  l’éminent juriste-politologue qui éprouverait du plaisir à fréquenter des étrangers prétendument dangereux pour son propre pays, tant que ses intérêts pécuniaires sont préservés par tous les moyens, croit pouvoir annihiler l’Etat de droit et l’hospitalité qui font du Cameroun un modèle, voire un repère ?   

Peut-on accepter d’être en relations d’affaires avec des étrangers que l’on sait dangereux pour son pays sans être soi-même l’artisan de la dangérosité, voire dangérosissime pour son propre pays, ou faire montre d’un déficit d’hygiène morale, voire d’une très hypothétique crédibilité ?

En tout cas, celui qui a le plus grand intérêt à prendre à témoin, puis solliciter une protection idoine des autorités camerounaises, centrafricaines et la communauté internationale au regard de ce qui précède,  c’est Monsieur Michel AMINE qui sait désormais de quoi est capable le Professeur Manassé ABOYA ENDONG qui, selon toute vraisemblance traitera demain de monstres d’immoralité, tous ceux qu’il qualifie aujourd’hui dans le cadre de la flagornerie institutionnalisée, de parangons de vertu, car il y a seulement quelques mois, il appelait encore celui qui serait maintenant porteur de dangers pour le Cameroun, tantôt « Très haute personnalité », tantôt « Très cher Président » ; 

  • Monsieur Michel AMINE aurait violé la clause de confidentialité à travers un article publié par le journal « Repère », prétend l’éminent juriste-politologue qui non seulement aurait respecté la clause de confidentialité en saisissant les services spécialisés de la police en recouvrement de créance, mais aussi, fait une lecture caricaturale de la clause de confidentialité contenue dans le contrat liant le candidat à la présidentielle centrafricaine au cabinet OLOKO & Partners Inc, puis se livre à l’exercice périlleux consistant à lire dans une boule de Crystal, relativement aux sources d’information du journal « Repères » ;

Monsieur Michel AMINE qui ne se souvient pas avoir déjà vu et/ou lu six pages d’autant d’incongruités, supputations indigestes et insinuations insipides qualifiées de droit de réponse n’ayant en réalité pour seule consistance que son intitulé, ne pouvant aucunement  ébranler ni la sublime mémoire de feu Richard TOUNA que des marchands d’illusions aux ambitions démesurées devraient se garder de profaner, ni le professionnalisme dont font montre certains journalistes engagés, ni les ambitions légitimes du candidat à la présidentielle centrafricaine, se fait le devoir de rétablir à toutes fins utiles la vérité, afin que nul n’en ignore, puisque les vraisemblables imposteurs revêtus de la peau d’agneau s’y conforment. 

Cette communication inspirera certainement aussi aux donneurs de leçons la nécessité de bien réviser au préalable les leçons qu’ils ont l’intention de dispenser.     

En effet, dans la perspective de l’implémentation d’un projet politique en République Centrafricaine, le Professeur Manassé ABOYA ENDONG a été présenté à Monsieur Michel AMINE dont l’altruisme et la philanthropie suscitent généralement, boulimies, appétits démesurés, convoitises et persécutions, comme étant l’un des célébrissimes politologues de tous les temps et ce, sur toutes les planètes.

Après d’éphémères pourparlers, l’éminentissime politologue concevra, rédigera, puis proposera à Monsieur Michel AMINE qualifié après un examen minutieux de sa personnalité par le Professeur Manassé ABOYA ENDONG de « …brillant technocrate à la virginité politique avérée… » et non de danger pour le Cameroun qui signera, un cahier des charges contenant entre autres une clause de confidentialité et bien d’autres d’une importance capitale délibérément introduites par le Professeur Manassé ABOYA ENDONG qu’il serait judicieux de rappeler.

Sous l’article 3 du contrat qui est la loi des parties, relatif aux engagements du Cabinet Oloko & Partners Inc, figure la clause de  confidentialité par le truchement de laquelle ce cabinet ayant pour représentant légal le Professeur Manassé ABOYA ENDONG s’engage particulièrement à exécuter sa mission dans le strict respect de la confidentialité de nature à préserver l’image et les intérêts du futur candidat à la Présidence, en ne divulguant aucun secret ou information obtenue, ni à en faire état ou allusion où que ce soit.

Force est donc de constater que cette obligation ne pèse sans restriction aucune que sur le cabinet OLOKO & Partners Inc, son représentant légal, puis ses préposés, et non sur Monsieur Michel AMINE dont on ne saurait dire qu’il l’a violé.

Il se pourrait qu’à travers sa plainte en recouvrement forcé de créance dont la police a été saisie, suivie d’une convocation téléphonique de Monsieur Michel AMINE le 22 octobre 2014 à 22 h 15 mn, puis le soi-disant droit ou devoir de réponse du Professeur Manassé ABOYA ENDONG, cette clause de confidentialité ait été respectée.

L’article relatif à la rémunération quant à lui stipule que les prestations fournies par le Cabinet Oloko & Partners Inc feront l’objet d’une rémunération dont l’exécution sera négociée en tranches à verser d’un commun accord entre les parties.

Le Professeur Manassé ABOYA ENDONG rapportera certainement la preuve de ce qu’au terme de négociations, les parties ont convenu en cours d’exécution ou après la rupture du contrat, de tranches ou acomptes dont il précisera les montants.

L’article concernant le règlement des litiges entre Monsieur Michel AMINE et le cabinet OLOKO & Partners Inc quant à lui, indique sans équivoque que toute contestation relative à l’exécution du cahier des charges est soumise à l’arbitrage des parties.

C’est peut être en exécution de cette clause que le Professeur Manassé ABOYA ENDONG, éminentissime juriste-politologue, aurait saisi les services spécialisés de la police camerounaise (voir son code de procédures civiles, commerciales, pénales, puis son Acte Uniforme OHADA relatif au Droit de l’Arbitrage), aux fins d’Arbitrage.

Appréciez l’art de se noyer juridiquement dans un verre d’eau !!! tel un aveugle qui, ayant égaré ses lunettes dans une ruelle sombrissime, s’obstine opiniâtrement, mais vainement à les retrouver sous le seul réverbère du boulevard, sous le fallacieux prétexte qu’il y fait plus clair.

Toujours est-il que les premières prestations visiblement en déphasage avec l’expertise avérée prêtée au cabinet OLOKO & Partners Inc qui réalisera d’ailleurs l’exploit de s’installer aux frais du candidat à la présidentielle centrafricaine au quartier Makèpè et non à Bonanjo ou Bonapriso comme convenu, feront l’objet de vives critiques récurrentes de certains observateurs avertis, collaborateurs et partenaires de Monsieur Michel AMINE, persuadés de ce que le professionnalisme est la négation de l’à peu près.

Par ailleurs, peut être impressionné, voire émerveillé par le confort quasi paradisiaque que lui offrait le candidat à la présidentielle Centrafricaine entre autres à Bangui en République Centrafricaine et en France, le Professeur Manassé ABOYA ENDONG se serait livré à des spectacles désolants qualifiés d’« escapades », susceptibles de ternir l’image de l’Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès en République Centrafricaine (UNDP), puis son Président Fondateur monsieur Michel AMINE qui, bien qu’ayant déjà versé délibérément un acompte de plus de 50 000 000 (cinquante millions) FCFA à son cocontractant qui ne saurait en disconvenir, s’est trouvé dans l’inéluctable obligation de porter à la connaissance du représentant légal du cabinet OLOKO & Partners inc, sa décision de mettre un terme au contrat les liant.

L’irréfutable versement tout au moins d’un acompte de 50 000 000 (cinquante millions) FCFA est matérialisé entre autres, par le message adressé par le Professeur Manassé ABOYA ENDONG à Monsieur Michel AMINE, en réaction à la décision de mettre un terme au contrat.

Il ressort de manière univoque de ce message du Professeur Manassé ABOYA ENDONG que :

  • Le Professeur Manassé ABOYA ENDONG a pris acte, consenti librement et irrévocablement à la résiliation du contrat, reconnu avoir perçu un acompte de 50 000 000 (cinquante millions) FCFA, puis réclamé un montant supplémentaire de 100 000 000 (cent millions) FCFA ;
  • Le cabinet OLOKO & Partners Inc qui n’a pas encore honoré ses engagements malgré des réclamations et relances, s’est engagé à restituer à Monsieur Michel AMINE ou tout mandataire de celui-ci, tous les actifs en sa possession, mais jusqu’ici retenus abusivement ;
  • « Pour tout le respect… » dû au candidat à la Présidentielle Centrafricaine, puis « …l’intimité partagée… », le Professeur Manassé ABOYA ENDONG qui l’a écrit lui-même, s’ « …interdit formellement de…  faire un procès ou de… » juger Monsieur Michel AMINE ;

Il se pourrait que le Professeur Manassé ABOYA ENDONG ait respecté cet engagement par lui pris délibérément, lorsqu’il saisit la police en recouvrement forcé d’une créance utopique, puis traite celui qu’il appelait hier « très cher Président » de dangereux pour le Cameroun ;

  • Le Professeur Manassé ABOYA ENDONG déclare également sans ambages que si Monsieur Michel AMINE ne verse pas le montant supplémentaire de 100 000 000 (cent millions) FCFA, il empruntera de l’argent pour liquider au minimum les engagements en cours, afin de rester quitte avec sa conscience ;

Le Professeur Manassé ABOYA ENDONG, ignorant apparemment les termes escroquerie et mauvaise foi, qui a ainsi exclu l’hypothèse d’un recouvrement forcé de créance à travers la saisine de la police, puis des communications relayées à l’échelle mondiale relatives à la réclamation de 150 000 000 (cent cinquante millions) FCFA, respecte t-il cet engagement ? 

  • Le Professeur Manassé ABOYA ENDONG terminera ce message adressé à Monsieur Michel AMINE en fin avril 2014, par la conclusion selon laquelle il ne regrette nullement d’avoir connu, puis partagé des moments magnifiques avec le candidat à la Présidentielle Centrafricaine, tout en lui souhaitant non seulement un plein succès, mais aussi, que Dieu guide les pas et éclaire le chemin de celui qui serait devenu dangereux pour le Cameroun, pour le grand destin auquel il aspire…

Monsieur Michel AMINE, détenant des pièces justificatives dont il se prévaudra en temps opportun, met le Professeur Manassé ABOYA ENDONG au défi d’oser soutenir le contraire de ces déclarations  contenues dans son ultime message, de même qu’il réagira à toutes éventuelles atteinte à son honneur, puis dénaturation des faits,  même par le silence, car se taire face à un procès en sorcellerie de chiffonniers ne signifie pas être muet,  mais refuser de parler, donc parler encore.

Grande a été la surprise de Monsieur Michel AMINE dont on appréciait encore le sens de l’équité et de la justice, lorsqu’après la rentrée politique de l’UNDP-RCA en juillet 2014, il lui a été transmis une correspondance datée du 15 juillet 2014 ayant pour objet « mise en demeure pour une négociation amiable avant poursuites judiciaires », par laquelle le conseil du cabinet OLOKO & Partners Inc et son représentant légal, le Professeur Manassé ABOYA ENDONG, le conviait à un arrangement à l’amiable sous huitaine, à défaut duquel il porterait le contentieux en recouvrement d’une très hypothétique créance, non pas à la police, mais devant les autorités compétentes conformément à l’Acte Uniforme OHADA N° 1 relatif au droit de l’Arbitrage, en vertu de l’article 6 du contrat liant les parties.

Il se pourrait selon le Professeur Manassé ABOYA ENDONG, qu’une révision de l’Acte Uniforme OHADA N° 1 relatif au droit de l’Arbitrage soit intervenue, de sorte que l’arbitrage en vertu d’une clause compromissoire relève désormais de la compétence de la police. 

La mise en demeure ci-dessus évoquée a tout de même suscité une séance de travail à laquelle prenaient part les conseils des parties, puis le Professeur Manassé ABOYA ENDONG qui ne saurait nier avoir réitéré entre autres le versement d’un acompte de 50 000 000 (cinquante millions) FCFA, puis son engagement à restituer à Monsieur Michel AMINE ou tout mandataire désigné, dont son conseil, tous les actifs en sa possession.

Après que le conseil de Monsieur Michel AMINE qui a subi un énorme préjudice méritant juste et intégrale réparation, entre autres en payant sans contre partie conséquente, un acompte de 50 000 000 (cinquante millions) FCFA,  ait fait part à celui du cabinet OLOKO & Partners Inc et son représentant légal, le Professeur Manassé ABOYA ENDONG, de l’impossibilité de verser quelque montant supplémentaire que ce soit à ses clients, le candidat à la Présidentielle Centrafricaine a été surpris de recevoir le 22 octobre 2014 à 22 h 15 mn, alors qu’il jouissait d’un repos paisible à sa résidence en France, une convocation téléphonique de la police, notamment du chef de secteur de la Direction de la Surveillance du territoire (DST) du Littoral, par laquelle on le conviait à venir répondre au Cameroun, sur hautes instructions du DGSN, des faits relatifs à l’exécution et la rupture du contrat de prestation de services d’avec le cabinet OLOKO & Partners Inc, dont il aurait été saisi.

Monsieur Michel AMINE a saisi qui de droit, pour dénoncer à toutes fins utiles ces pratiques atypiques.

Il y a lieu de relever que le cabinet OLOKO & Partners Inc et son représentant légal, le Professeur Manassé ABOYA ENDONG, n’ont jamais cru devoir répondre par écrit aux deux correspondances à eux adressées par le conseil de Monsieur Michel AMINE, datées des 29 juillet, puis 23 octobre 2014, dans lesquelles diverses préoccupations très édifiantes ont été émises concernant entre autres l’inopportunité du paiement d’un montant supplémentaire par le candidat à la présidentielle Centrafricaine, l’inéluctable  réparation de l’incommensurable préjudice par lui subi et la restitution des actifs détenus abusivement par le cabinet OLOKO & Partners Inc, l’impertinence, voire le caractère inopérant de toute éventuelle procédure contre le Président Fondateur de l’UNDP-RCA, y compris celle révélatrice de chantage, trafic d’influences, basses manœuvres déstabilisatrices dont a été saisie la police aux fins d’arbitrage et/ou de recouvrement forcé d’une créance utopique. 

Espérons que ceux qui sèment des droits de réponse à tout vent ne feront pas montre d’une constipation verbale à la lecture de cette Mise au point devant permettre aux lecteurs  de découvrir la vérité, puis la véritable victime.

Au demeurant, Monsieur Michel AMINE se réserve le droit de tirer de tout ce qui précède,  les conséquences juridico-judiciaires qui s’imposent.

Mardi, le 02 décembre 2014

Pour monsieur Michel AMINE

Son conseil, Maître ANDEGUE ONANA Daniel Désiré



09/04/2015

A découvrir aussi


Ces blogs de Politique & Société pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 541 autres membres